L’école Minh Long trouve son origine au 13ème siècle au « Nord Vietnam ». Le Maître fondateur Tran Minh Long est issu d’une lignée de Grands Maîtres connus sous le nom de disciple Hoàng « jaune littéral ». Son histoire est intimement liée au développement du Bouddhisme dans ce pays. Introduit dès le début de l’ère chrétienne par des navigateurs indiens, ce n’est qu’au Xème siècle, au moment de la libération de l’occupation chinoise, que l’École Thien (ou Zen pour les Japonais) prend son essor. Contrairement à ce qui se pratique en Chine (et en particulier dans le fameux Temple de Shaolin) l’organisation des Temples n’inclue pas obligatoirement l’enseignement des arts martiaux. Cet enseignement est cependant systématiquement prodigué aux moines-gardes et aux missionnaires (les routes de l’époque étant fort peu sûres). C’est à cette époque que de nombreuses Écoles d’arts martiaux se structurent. Au XIVème siècle, le changement dynastique et l’adoption du Confucianisme comme doctrine officielle de l’État entraîne la persécution du bouddhisme Thien. De plus, les écoles d’arts martiaux qui lui sont liées, sont considérées comme dangereuses par le pouvoir et interdites. Les disciples se dispersent alors dans tout le pays, fuyant les persécutions.La suite ici !
Après avoir aidé An Dương Vương à vaincre le démon Bach Kê et assisté à la construction de la citadelle de Cổ Loa, (voir la légende de La citadelle de Cổ Loa) le génie Kim Qui repris sa forme de tortue d’or et offrit à An Dương Vương une de ses griffes en lui promettant que s’il la montait en tant que gâchette sur une arbalète, l’arme lui permettrait de devenir invincible, que chaque flèche tirée abattrait plusieurs milliers d’ennemis. Après le départ de Kim Qui, le roi fit venir Cao Lỗ, le meilleur fabricant d’arbalète de la région, et lui commanda de lui fabriquer la meilleure de ses arbalète jamais construite sur laquelle sera montée, en guise de gâchette, la griffe donnée par Kim Qui. Au bout de quelques semaines, c’est une arme très grande, très dure et très lourde qui fut livrée à An Dương Vương. Au contraire des autres arbalètes plus légères, il fallait une main forte et puissante pour la lever. An Dương Vương aima beaucoup l’arbalète magique et elle restait toujours accrochée près de son lit. La suite ici !
Le roi An Dương Vương décida de bâtir la citadelle de Cổ Loa sur le mont Phong Khê pour en faire sa capitale. Mais chaque nuit un orage inhabituel se déchainait, le vent soufflait, le sol tremblait, des voix terrifiantes descendaient des collines et au petit matin les murs bâtis la veille se retrouvaient détruits. Sur les conseils de son entourage, An Dương Vương se retira trois jours durant lesquels il jeuna, médita et implora le Ciel. Au soir du troisième jour, alors qu’il contemplait le coucher de soleil sur les eaux paisible d’un lac, il vit les rougeoyantes vapeurs du crépuscule devenir blanches et s’opacifier et dessiner lentement une forme humaine. Un vénérable sage à la barbe longue et aux pieds flottant sur la brume lui fit ce présage : « Bientôt viendra l’Envoyé de la Rivière Claire. Demandez-lui comment construire votre citadelle » et avant que le roi ait le temps de répondre celui-ci se dissipa dans la brume. La suite ici
La légende raconte que le dernier roi de la 18ème dynastie Hùng, qui régnèrent sous le nom de Hùng Duệ Vương, a eu deux filles. La première, Tiên Dung, était rebelle et aventurière, elle refusait le mariage. Sa sœur, Ngọc Hoa, était douce et d’une extraordinaire beauté, elle était aussi appelée Mỵ Nương, titre utilisé à l‘époque des Rois Hùng qui pouvait signifier « Fille de Roi ». Quand elle arriva à l’âge de se marier, le roi annonça dans tout le pays qu’il cherchait parmi les hommes de talent et d’honneur celui à qui il donnerait sa fille en mariage.
Le premier à se présenter fut un roi de l’occident. Il arriva avec du bétel argent et des noix d’arec en or pour demander la main de la princesse. Loin d’être aveuglé par toutes ces richesses, le roi consulta ses généraux. Leur avis était unanime, le roi d’occident était cruel, vieux et d’un physique peu avantageux, il ne correspondait en aucun point à l’époux que méritait la princesse Mỵ Nương. Le roi suivit les conseils de ses généraux et refusa l’offre du roi d’occident. De nombreux autres prétendants suivirent, venant des quatre coins du pays, tous plus riches et talentueux les uns que les autres, mais aucun ne reçut la faveur du roi et de ses généraux. La suite ici !
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